Revolver

Revolver est le septième album des Beatles, sorti le 5 août 1966 à Londres et qui est considéré comme un de leur plus important. Toutes les chansons de l'album furent composées par les membres du groupe.


Il est souvent considéré comme la suite logique du précédent album (Rubber Soul, sorti en novembre 1965). Revolver est écrit au cours une période où les Beatles expérimentent certaines drogues telles que le LSD (drogue légale en 1966). Cela est notamment remarquable dans les titres comme Tomorrow Never Knows ou Doctor Robert. A noter que Got To Get You Into My Life est écrite par Paul McCartney en référence au LSD.

Avec cet album, les Beatles deviennent de plus en plus créatifs : ils sortent de leur période bons garçons et entrent ainsi dans leur période psychédélique. Le soin apporté à chaque morceau était unique et l'album est d'une grande richesse créative.

Cet album sort la même année que Pet Sounds des Beach Boys, lequel, comme Revolver pour les Beatles, marque un tournant dans la carrière des Beach Boys.

Liste des morceaux:

1. Taxman
2. Eleanor Rigby
3. I'm Only Sleeping
4. Love You To
5. Here, There and Everywhere
6. Yellow Submarine
7. She Said She Said
8. Good Day Sunshine
9. And Your Bird Can Sing
10. For No One
11. Doctor Robert
12. I Want To Tell You
13. Got To Get You Into My Life
14. Tomorrow Never Knows


source: wikipédia

Tu parles de celle-là ?


Pauvre Ringo...
Oui, Taxman est bien dotée de l'humour de George! Et Eleanor Rigby est un morceau unique des Beatles, et encore unique de nos jours! Quel génie, ce Paul ! Dans le DVD "The McCartney Years", il y a un bonus nommé "Eleanor's Dream" où Paul parle de sa composition...

Tu n'as pas aimé For No One ?
Moi je l'adore! La mélodie douce et légère, les paroles tristes... Elle a quelque chose de spécial, de vécu... On voit qu'elle sort du coeur de Paul McCartney!

Revolver... un de mes préférés! Il n'y a rien à redire...

j'aime bien le coup de l'escalioer roulant

Rocky the Walrus a écrit:Tu n'as pas aimé For No One ?
Moi je l'adore! La mélodie douce et légère, les paroles tristes... Elle a quelque chose de spécial, de vécu... On voit qu'elle sort du coeur de Paul McCartney!

Revolver... un de mes préférés! Il n'y a rien à redire...

Oups j'ai dit que je n'ai pas aimé for no one ! et bien je me suis trompé avec quelque chose d'autre, car depuis quelques temps je l'écoute souvent.

Tu vis une histoire d'amour difficile ?

For No One est vraiment très belle....
Celle que j'aime le moins dans Revolver c'est I Want To Tell You... Il y a des fois où je l'adore, d'autres ou je l'aime moins...
Et Love You To, j'ai mis pas mal de temps à l'apprécier... Mais elle est belle

Moi j'aime beaucoup "and your bird can sing" et "i'm only sleeping"

Si George Harisson s'est souvent vu surnommé le « Beatle du Milieu », parce qu'il jouait sur scène entre Lennon et McCartney, il existe, dans la brève mais éclectique discographie des Beatles, un album qui annonçait une transition notoire entre deux périodes. En effet, sur les quinze albums produits par les Fabs entre 1963 et 1970, « Revolver », paru en 1966, est le septième. Aux plans du nombre comme de la chronologie, il occupe une position centrale.

Avec cet album, le groupe tourne résolument le dos aux années tendres, celles des « She Loves You », « Michelle » et autres « And I Love Her », pour amorcer le virage de la maturité. Comme George Harisson, « Revolver » se situe entre Lennon et McCartney. Il annonce la fin du leadership du premier, et le début de la domination du second sur le groupe. En effet, McCartney s'était contenté jusqu'ici du rôle du brillant leader adjoint, épaulant les efforts déterminants du maestro Lennon, notamment sur « A Hard Day's Night » et « Rubber Soul » qui portent l'empreinte indélébile du Beatle brillant.

D'un album à l'autre, Macca prenait cependant de plus en plus d'ascendant sur le quatuor. il signe ici pour la première fois autant de titres que son collègue, soit cinq, et même un de plus, avec « Yellow Submarine », que seul la bonhomie de Ringo arrive à faire passer.

Il ne faut pas croire pour autant que Lennon joue les seconds violons, bien au contraire. Jamais l'auteur de « Help! » ne s'était autant permis de libertés, ou de risques, selon les points du vue, avec une exploration sans réserve du psychédélisme. Quand il ne joue pas avec la structure même d'une chanson, par des ruptures de temps aussi impromptues qu'étrangement mélodiques dans « She Said, She Said », il jongle avec les ambiances oniriques, comme lui seul sait le faire, avec l'envoûtant « I'm Only Sleeping ».

John se lance ensuite dans un improbable mélange de genres avec « Dr Robert », alternant une rythmique country western avec des transitions surréalistes évoquant les paradis artificiels suscités par le LSD. « And Your Bird Can Sing », reste la plus facile de ses compositions sur ce disque, mais demeure un bon petit rock bien ficelé et typiquement british au plan du rythme comme de la mélodie.

Il serait sacrilège de passer sous silence « Tomorrow Never Knows », sa rythmique monocorde et obsédante, ses bandes passées à l'envers, en syntonie avec les extraits du Livre des morts tibétains, chantés de façon délicieusement lancinante par John.

Plus formelles, les pièces de Paul n'en demeure pas moins d'une richesse lyrique insurpassable, et de loin les plus accomplies de sa carrière jusqu'alors. « Eleonor Rigby » cristallise l'avant-garde de McCartney, au sens qu'avait ce mot à l'époque, qui désignait l'intégration d'instruments classiques dans un contexte pop. Cette pièce, presque symphonique, s'insère en continuité entre « Yesterday » et d'autres morceaux de Sgt Pepper's, tels que « She's Leaving Home ».

Si « Good Day Sunshine » fait un peu Roger bon temps par sa candide bonne humeur, « Here, There and Everywhere » se démarque certainement comme l'une des meilleures chansons de McCartney, toutes époques confondues. C'était d'ailleurs la préférée de John et de George Martin, parmi le répertoire de Paul. « For No One », balade aigre-douce sur un amour défunt, représente un modèle du genre, tandis que les cuivres ont rarement retenti de façon aussi judicieuse que sur l'électrisant « Got To Get You Into My Life ».

Entre John, le psychédélique, et Paul, l'avant-gardiste, George, le tranquille, se démarque avec trois compositions, dont l'acidulé « Taxman », auquel Lennon a par ailleurs contribué. « I Want To Tell You » reste le morceau le plus représentatif du lead guitariste tandis que « Love You To » traduit son intérêt croissant pour l'Inde.

En définitive, « Revolver » incarne un sommet d'équilibre entre les trois compositeurs, entre l'avant-garde et le psychédélisme, de même qu'entre la richesse mélodique et l'audace du traitement musical. Si certains voient dans ce disque le brouillon de « Sgt Pepper's », d'autres, comme l'auteur de ces lignes, y célèbrent le vrai sommet des Beatles, à une époque où ils travaillaient encore ensemble comme un groupe, et non comme des musiciens de studio sur la chanson à l'ordre du jour.

Revolver est l'album qui m'as le plus marqué, d'abord étant le premier que j'ai écouté des Beatles, j'avais acheté une edition russe qui contenait deux albums en un seul CD, il y etait couplé avec Magical Mystery Tour et quelques titres inedits.
J'ai accroché dés les premieres écoutes, au point que je le passais 2 a 3 fois par jour, j'admirais cette richesse sonore trés et ces guitares flamboyantes ah souvenirs !!!

Revolver fait parti de mes albums préfrés . ♥

J'adore les chansons de George dans cet album . ♥

Mon album préféré!!! Par certains aspects, je le trouve plus original que Sgt Pepper, dans le sens où c'est "l'évolution dans la simplicité" (sans trop de tapage, cf. la pochette par exemple). C'est l'album qui marque la véritable limite entre les albums "à la chaine" et "l'explosion" initiée avec Sgt Pepper. Enfin, en écoutant l'album on sent que quelque chose est en train de se produire, ça bouillonne....

C'est aussi le premier "vrai" album des Beatles que j'ai acheté, il y a très très longtemps....

Hàààn Revolver, une grande histoire d'amour entre cet album et moi (A)
Je trouve cet album sublime, toutes les chansons sont sublimes. Puis recherchées niveau écriture, et musical. Comme le sitar dans Love you to, et I'm Only Sleeping. Puis le For no one de Paul est ... WOW, J'adore cette chanson je peux l'écouter en boucle toute la journée !
Puis la pochette de l'album est super aussi, avec les dessins des têtes des quatres Loulou, puis en rajout des photos d'eux. Bref j'adore tout dans cet album !

J'adore cet album, autant point de vue pochette que le contenu !
C'est là qu'on commence à connaitre les personnalités de nos chers chouchoux..

C'est un magnifique album , l'un des plus beaux des Beatles (il est dans mon top 3)
J'ai écouté les différents albums dans l'ordre et plus que Rubber Soul , Revolver est vraiment l'album qui m'a fait devenir un fan de leur musique
Pour l'époque où il sort (1966) , ce disque est incroyable de modernité
John avait dit plus tard : "Si Rubber Soul est l'album de la marijuana, Revolver est l'album de l'acide"
Et on le sent, aussi bien dans les paroles "Doctor Robert" par exemple , que dans la musique avec les psychédéliques "Tomorrow Never Knows" , "I'm only sleeping" ou "Love You Too"
Paul, tout en finesse, et John, tout en surréalisme, sont au top. George nous livre trois compos toutes excellentes.
Bien meilleur que Sgt Pepper pour moi !
Ah ! J'allais oublier la pochette , magnifique également...

Que j'aime cette album Déjà commençons par les compostions de ce cher George qui pour moi font partie des meilleurs chansons de l'album ! Love you to , j'ai été fasciné par cette chanson je les écoutai des milliard de fois elle est sublime avec le sitar ! Taxman , une chanson pleine d'humour que j'adore ! Et I want to tell you une parfait petite chanson d'amour qui fait du bien après une longue journée de travail ! Maintenant passons à John , alors là on peut dire que ses chansons sont extraordinaires ! Tomorow never knows , très psychédélique , elle hypnose à chaque fois que je l'écoute ! She said , she said , les paroles , la mélodie , la voix de John cette chanson est parfaite ! And your bird can sing , la mélodie est très belle , très simple mais les paroles sont sublimes pour moi (même s'il a qualifié cette chanson de "bonne à jeter" ) ! I'm only sleeping cette chanson est parfaite , elle dit tout ce que je ressens le matin ^^ Dr.Robert est parfaite aussi ! Passons aux compo' de ce cher Paul je trouve ces compostions cools mais pas très original à part [/i]Eleanor Rigby[i] qui est très

Oh j'adore Here, There and Everywhere et For No One personnellement ! J'adore les chansons de Paul en fait, elles sont simples mais belles ...

Oui mais elles bougent pas assez comparés à celle de John et George ! Mais il va très bien se rattraper avec Sergent Pepper's Lonely Heart Club Band !

GeorgeJohn4ever a écrit:Oui mais elles bougent pas assez comparés à celle de John et George ! Mais il va très bien se rattraper avec Sergent Pepper's Lonely Heart Club Band !

Peut-être, mais Paul avait le don de pouvoir écrire de magnifiques chansons d'amour. Paul était vraiment un grand sentimental. ^^
En fait, Paul était capable de faire n'importe quelle musique, il pouvais autant faire de magnifiques ballades genre For No One, puis faire du vrai rock comme Hi Hi Hi. ♥

Le bad boy John contre le good boy Paul

GeorgeJohn4ever a écrit:Le bad boy John contre le good boy Paul

Paul avait quand même un côté Bad Boy, car il consommait beaucoup de Marijuana et de drogue dans les années 70. ^^
Mais bon, je pense que tous les artistes étaient drogués durant cette période.

Oui malheureusement ! Mais Linda se droguait aussi ?

GeorgeJohn4ever a écrit:Oui malheureusement ! Mais Linda se droguait aussi ?

je crois que oui.

Je vois pas Linda la gentille petite végétarienne se droguait mais bon ...

GeorgeJohn4ever a écrit:Je vois pas Linda la gentille petite végétarienne se droguait mais bon ...

Et bien, dans les année 70, il y a un musicien qui a quitté le groupe des Wings parce qu'il ne prennait pas de drogues et donc qu'il ne supportait pas que le couple McCartney en prenne devant lui, et en consomme énormément.

Ben il a eu raison ! Mais quand même Linda cachait bien son jeu ...